Qu'est-ce que le Trouble d'Anxiété Généralisée
Posté : 12 oct. 2010, 18:19
Bonsoir à tous,
J'ai fait de la lecture sur notre maladie et j'ai trouvé une définition dont je me suis vraiment retrouvée. J'ai donc décidé de vous le faire lire...
Bonne lecture
Trouble d'anxiété généralisé (TAG)
Comprendre ses mécanismes pour cesser de les subir et les changer.
• Tension motrice
o Fatigabilité
o Céphalées
o Tremblements
o Tension musculaire
o Incapacité à se détendre
• Hypervigilance cognitive
o Agitation fébrile
o Sensation d'être à bout, survolté
o Irritabilité
o Difficultés de concentration
o Troubles du sommeil
o Réactions de sursaut
• Hyperactivité neurovégétative
o Souffle court
o Sudation
o Palpitations
o Malaises gastro-intestinaux
o Étourdissements
o Sécheresse de la bouche
Si vous vivez avec ces symptômes, il se pourrait bien que nous ayons réponse à vos questions.
Qu'est-ce que l'anxiété et le trouble d'anxiété généralisée ?
À nos yeux, l'anxiété et le trouble d'anxiété généralisée consiste principalement en une “stratégie non-aidantes de gestion des émotions".
Causes de l'anxiété et du TAG
Lorsque nous travaillons avec la résolution de l'anxiété et du TAG, nous trouvons souvent des blessures lors de la petite enfance. À travers les expériences que vous avez vécues, vous avez appris que les "émotions riment souvent avec danger". Vous n’avez pas pu exprimer ce que vous ressentiez parce qu’il était interdit de le faire... quelque part vous avez compris qu’il n’était pas aidant de manifester des émotions. Soit qu’elles n’étaient pas écoutées ou bien qu’elles amenaient des désagréments. Vous avez ainsi poursuivit votre vie avec cette stratégie de gestion des émotions sans même savoir qu’il en existe d’autres. Et un jour il vous est soit arrivé un gros choc émotif ou bien plusieurs chocs rapprochés dans le temps et toutes les émotions semblent se déverser d’un seul coup. Inutile de dire qu'à ce moment là, vous êtes devenu très inquiet puisque vos réactions émotives vous ont semblé être incroyablement disproportionnées par rapport à l’intensité du déclencheur.
Notre compréhension de l'anxiété et du TAG
En fait, l’anxiété n’est pas le problème. Elle n’est qu’une manifestation d’une stratégie non-aidante. Comme le résultat d’une simple équation comprenant un nombre plus ou moins élevé de facteurs. Ces facteurs accumulés ou bien manquants aident la personne à développer cette stratégie d’essayer de garder ses émotions loin d’elle. Il y a eu stresseur et la détresse psychologique a été assez grande pour que le cerveau décide de pousser en dehors du conscient l’émotion associée au stresseur. Nous avons raison de croire que le cerveau a pour seul objectif la survie de l’organisme. En situation d’urgence, le cerveau s’organise pour que l’organisme survive. Pas de temps à perdre avec la gestion de l’émotion: tant que le cœur bat et que les poumons respirent et que l’organisme n’est pas en danger de destruction fatale, la stratégie de survie de l’organisme se poursuit.
Si l’environnement devient sécuritaire, il y a des chances pour que le cerveau décide de traiter l’événement traumatisant afin d'intégrer l'expérience et d'intégrer une compréhension élargie. Si par contre l’environnement reste aussi menaçant et pauvre émotionnellement, le cerveau continuera d’utiliser la stratégie d’enfouir les émotions là où on peut ne pas les ressentir.
Et comme tout semble aller mieux (en enfouissant les émotions douloureuses on les sent moins qu’en baignant dedans), le cerveau continue la stratégie... jusqu’au jour où la masse d’émotions non-identifiées devient comme un ballon de plage qu’on tente de garder sous l’eau: ça veut remonter cette affaire-là! Ainsi, pour nous, l’anxiété c’est un paquet d’émotions non-identifiées. Et comme l’ordinateur avec trop d’applications ouvertes, ça plante: attaque de panique ou anxiété non-identifiée envahissante. On a l’impression de mourir, d’être en danger de mort alors qu’il n’y a rien de dangereux à l’extérieur. C’est à l’intérieur qu’il y a danger. Comme le système nerveux qui flanche. Comme s’il y avait trop d’énergie dépensée à maintenir le ballon de plage sous l’eau, ça finit par mettre l’organisme en danger. Toute émotion qui n’est pas exprimée s’imprime. Là le cerveau se rend compte de la non-viabilité de la stratégie à long terme. En situation d’urgence, pousser de côté les émotions douloureuses est parfois vital. En répétition et à long terme, ce n’est pas viable.
J'ai fait de la lecture sur notre maladie et j'ai trouvé une définition dont je me suis vraiment retrouvée. J'ai donc décidé de vous le faire lire...
Bonne lecture
Trouble d'anxiété généralisé (TAG)
Comprendre ses mécanismes pour cesser de les subir et les changer.
• Tension motrice
o Fatigabilité
o Céphalées
o Tremblements
o Tension musculaire
o Incapacité à se détendre
• Hypervigilance cognitive
o Agitation fébrile
o Sensation d'être à bout, survolté
o Irritabilité
o Difficultés de concentration
o Troubles du sommeil
o Réactions de sursaut
• Hyperactivité neurovégétative
o Souffle court
o Sudation
o Palpitations
o Malaises gastro-intestinaux
o Étourdissements
o Sécheresse de la bouche
Si vous vivez avec ces symptômes, il se pourrait bien que nous ayons réponse à vos questions.
Qu'est-ce que l'anxiété et le trouble d'anxiété généralisée ?
À nos yeux, l'anxiété et le trouble d'anxiété généralisée consiste principalement en une “stratégie non-aidantes de gestion des émotions".
Causes de l'anxiété et du TAG
Lorsque nous travaillons avec la résolution de l'anxiété et du TAG, nous trouvons souvent des blessures lors de la petite enfance. À travers les expériences que vous avez vécues, vous avez appris que les "émotions riment souvent avec danger". Vous n’avez pas pu exprimer ce que vous ressentiez parce qu’il était interdit de le faire... quelque part vous avez compris qu’il n’était pas aidant de manifester des émotions. Soit qu’elles n’étaient pas écoutées ou bien qu’elles amenaient des désagréments. Vous avez ainsi poursuivit votre vie avec cette stratégie de gestion des émotions sans même savoir qu’il en existe d’autres. Et un jour il vous est soit arrivé un gros choc émotif ou bien plusieurs chocs rapprochés dans le temps et toutes les émotions semblent se déverser d’un seul coup. Inutile de dire qu'à ce moment là, vous êtes devenu très inquiet puisque vos réactions émotives vous ont semblé être incroyablement disproportionnées par rapport à l’intensité du déclencheur.
Notre compréhension de l'anxiété et du TAG
En fait, l’anxiété n’est pas le problème. Elle n’est qu’une manifestation d’une stratégie non-aidante. Comme le résultat d’une simple équation comprenant un nombre plus ou moins élevé de facteurs. Ces facteurs accumulés ou bien manquants aident la personne à développer cette stratégie d’essayer de garder ses émotions loin d’elle. Il y a eu stresseur et la détresse psychologique a été assez grande pour que le cerveau décide de pousser en dehors du conscient l’émotion associée au stresseur. Nous avons raison de croire que le cerveau a pour seul objectif la survie de l’organisme. En situation d’urgence, le cerveau s’organise pour que l’organisme survive. Pas de temps à perdre avec la gestion de l’émotion: tant que le cœur bat et que les poumons respirent et que l’organisme n’est pas en danger de destruction fatale, la stratégie de survie de l’organisme se poursuit.
Si l’environnement devient sécuritaire, il y a des chances pour que le cerveau décide de traiter l’événement traumatisant afin d'intégrer l'expérience et d'intégrer une compréhension élargie. Si par contre l’environnement reste aussi menaçant et pauvre émotionnellement, le cerveau continuera d’utiliser la stratégie d’enfouir les émotions là où on peut ne pas les ressentir.
Et comme tout semble aller mieux (en enfouissant les émotions douloureuses on les sent moins qu’en baignant dedans), le cerveau continue la stratégie... jusqu’au jour où la masse d’émotions non-identifiées devient comme un ballon de plage qu’on tente de garder sous l’eau: ça veut remonter cette affaire-là! Ainsi, pour nous, l’anxiété c’est un paquet d’émotions non-identifiées. Et comme l’ordinateur avec trop d’applications ouvertes, ça plante: attaque de panique ou anxiété non-identifiée envahissante. On a l’impression de mourir, d’être en danger de mort alors qu’il n’y a rien de dangereux à l’extérieur. C’est à l’intérieur qu’il y a danger. Comme le système nerveux qui flanche. Comme s’il y avait trop d’énergie dépensée à maintenir le ballon de plage sous l’eau, ça finit par mettre l’organisme en danger. Toute émotion qui n’est pas exprimée s’imprime. Là le cerveau se rend compte de la non-viabilité de la stratégie à long terme. En situation d’urgence, pousser de côté les émotions douloureuses est parfois vital. En répétition et à long terme, ce n’est pas viable.