J'ai le goût de réagir à quelques trucs,
Malheureusement pour moi lizzouee je ne comprends rien à l'anglais. En français j'aurais probablement testé l'écoute de ce podcast. Tu parles aussi de ta solitude. Tu n'es plus dans un centre comme dans le temps des Fêtes si je comprends bien. Tu vis seule en appartement? Tu as moins d'interactions avec les gens je suppose. Que fais tu pour lutter contre la solitude?
Ouena,
, la réponse est non! Pas elle qui va décider ni aujourd'hui ni demain. 
Tu es la bienvenu Esquisse. Évidemment.
Ton idée, je l'ai déjà utilisée pour socialiser avec des gens atteints d'un problème psychiatrique quelconque. Sorties à gauche et à droite, activités quotidienne dans un local dédié, à l'époque j'étais très bas. Ça m'a aidé pour un temps mais là, j'essaye de socialiser avec des gens qu'on dit "normaux". Pour voir si, comme le dit Lollipop, je vais me sentir comme un extra-terrestre ou bien si je vais me sentir ... normal! Est-ce encore possible de me mélanger à la masse? Si je ne l'essaye pas ce sera ma peur qui aura vaincu. S'il est impossible pour moi de me mélanger à des gens normaux ben j'aurai un deuil à faire.
Je ressens très bien l'effet de cette phrase. Je me sens comme un extra-terrestre plus souvent que je ne voudrais. Et dans le groupe que j'ai fréquenté, http://www.letournesoldelarivenord.com, je me sentais accepté tel que j'étais, en démarche, en combat contre une maladie, on me considérait et je respirais mieux. Pourtant, le clivage dans lequel j'étais m'était rendu insupportable à la fin. (Une année de fréquentation). Alors progressivement j'ai délaisser le groupe. Et la solitude est revenu.
Je ne suis donc pas seul à agir ainsi. J'ajouterais que pour la plupart, mes coups de tête sont permanents. Pas moyen de revenir en arrière.
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La solitude. Même bien entouré quelques fois je l'ai sentie m'étouffer. Une oppression insoutenable parfois. Mais je la préfère encore à certaines amitiés. Jusqu'où est on prêt à aller pour ne pas être seul? La solitude n'est pas une maladie. C'est un état dans lequel on se trouve pour un moment plus ou moins long. Je me suis habitué à une certaine forme de solitude. Depuis le temps.
Mais vivre en ermite n'est pas de mon domaine. Un minimum de solitude pour moi serait peut être un maximum pour un autre. Comment savoir. Personne est pareil. Chacun a sa sensibilité ajusté différemment. Untel a besoin d'échanges quotidiens, une autre peut demeurer silencieuse des jours de temps avant de sentir le besoin de parler. Être dans la présence d'un autre humain est aussi variable. Je peux passer des jours silencieux mais j'ai besoin un moment donné de voir des gens. Même si on parle pas ensemble. J'aime observer les gens. Ça me fait du bien. Pour le moment mon décors relationnel c'est: jeux de société et photographie (on a jamais rien organisé à date, ça arrivera peut être jamais non plus. - 2x le mot jamais dans la même phrase ouch!- ). Le reste c'est du bonus.
